
Un mal. Le plus cruel de tous. C'est un mal sans espérance, un mal qui se chérit lui même, un mal que toute la science humaine ne pourrait y remédier. Il se nourrit du temps qui passe, du parfum d'une fleur, du refrain d'une chanson. Ce mal, tu le trouveras sur tes lèvres, son nom n'existe pas sans lui.
Le souffle de ma vie est à toi, ainsi, tu peux d'un seul mot, l'anéantir ou l'embraser. Vivre pour quelqu'un d'autre me serait plus difficile que de mourrir pour toi.
No comments:
Post a Comment